Je suis même plutôt fière de l'un des changements apportés qui en peu de mots apporte une nouvelle dimension au roman. Un petit bout de discussion surpris par la protagoniste, à peine quelques phrases échangées mais insinuant une complication sous-jacente qu'on ne soupçonnait pas. Du moins, moi je croyais qu'on pouvait le soupçonner mais apparemment que non, alors il a suffit de peu pour corriger le tir. En une petite phrase insidieuse, j'enrichis l'histoire et pique la curiosité, c'est gagnant et je n'y aurais pas songé par moi-même.
Et je m'y remets, tant que ça roule, je roule.
Les commentaires de lecteurs, comme ceux des directeurs ou directrices littéraires d'ailleurs, sont toujours bons à prendre, ne serait-ce que pour discussion. Ce qui est plus difficile, c'est quoi en faire, comment transposer dans le roman, pas toujours évident. Bonne route!
RépondreSupprimerRecevoir les critiques et savoir quoi en faire? Bravo, car ce n'est pas évident, comme dit Claude.
RépondreSupprimerDans tous les cas, n'abandonne pas! C'est plaisant de savoir que tu as repris le crayon ;)
Merci, Pat et Claude. En effet c'est là toute la difficulté, savoir quoi faire des commentaires. C'est bien ce qui me stoppait depuis un certain temps.
RépondreSupprimerAh! Les commentaires des lecteurs... Dans un atelier, l'été dernier, j'ai 8 personnes qui ont commenté l'un de mes textes... certains étaient d'accord, d'autres partaient dans des directions totalement opposées les unes des autres! Comme quoi, on ne peut pas tout prendre pour argent comptant...
RépondreSupprimerLes lecteurs, comme le dit Pat, c'est surtout une belle opportunité de se questionner et d'aller au fond de notre concept. Quand plusieurs lecteurs soulèvent le même problème, c'est qu'il y a probablement un problème à régler. Et quand personne n'est d'accord... il faut trancher! Parce qu'au final, c'est notre nom qui apparaîtra sur la couverture!
Allez, bonne chance dans ta réécriture! :)
@Isa: En effet, ça doit être plutôt traumatisant! Pour ma part ce n'était pas si différent comme points de vue et ça m'a fait réfléchir.
RépondreSupprimer