Ce matin, j’en ai
profité pour sortir reconduire ma plus petite en vélo à la garderie, ça active
la circulation sanguine, ça réveille les neurones, ça oxygène le cerveau. De
retour à la maison, je me prépare un bon café, lance une brassée de lavage,
puis je m’assois derrière l’ordinateur. Les fenêtres ouvertes sur la terrasse,
j’entends les oiseaux qui me sérénadent, la brise printanière transporte jusqu’à
mon salon des effluves de gazon coupé et de lilas. Si le cœur m’en dit un peu
plus tard, je sortirai écrire ou lire un peu sur la terrasse, mais dernièrement
c’est toujours trop chaud ou trop froid dehors, alors j’évite.
J’épluche les
nouvelles pour une petite demi-heure, un petit sudoku, et je suis prête à
commencer ma journée d’écriture, qui sera sans doute productive. Du moins je l’espère!
J’en profite tandis
que ça passe, car je crains que cette journée ne finisse perdue dans les rendez-vous.
Dentiste? Ah oui, vendredi je suis libre. Chiro? Vendredi. Coiffeuse? Vendredi.
Commissions? Épicerie? Rendez-vous occasionnels? Pourquoi pas les vendredis, je
suis libre. Pas pour longtemps, hélas! Mon objectif est donc de préserver mon
vendredi, autant que faire se peut. Ce sera mes vendredis littéraires, sans
faute!
Alors je vous lance
cet appel à l’aide : rappelez-moi que le vendredi, j’écris et rien d’autre
(ou si peu!). Je vous en redonne des nouvelles, là je dois sortir pour remettre
mes livres à la bibli -ça compte, ça
dans le vendredi littéraire?
À bientôt.
Laisse-faire la bibliothèque pis assis-toé ;)
RépondreSupprimer@Pat: sages conseils!
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